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5 octobre 2015 1 05 /10 /octobre /2015 07:06
Les AAS du SEJ partent à la DPP fin 2016 au plus tard…..et alors ?
Questions → Réponses ( ?) ….suite (N°2)
Personnel administratif :

 

  • Les personnels de la surveillance représentent, en moyenne, 25% des personnels des Divisions du Service d’Exploitation des Jardins.
  • Quelles conséquences auront ces suppressions de postes au sein de la DEVE et plus précisément dans les Divisions sur la filière administrative (Adjoints, Secrétaires et Attachés?). Quel impact également sur les postes de la fonction d’UGD ?
  • Les postes budgétaires d’administratif à la DPP sont actuellement nettement insuffisant et la question se pose donc de savoir comment cette Direction pourra accueillir et gérer efficacement quelque six-cents AAS supplémentaire ? Ces personnels administratifs supplémentaires car nécessaires viendront-il de la DEVE ? Si oui : Qui ? Combien ? Comment : Volontariat?
  • Dans les Divisions, souvent, sinon toujours, c’est l’attaché d’administration, qui, en sa qualité de cadre A, suit plus précisément le secteur de la surveillance. Tous ces postes seront-t’ ils maintenus en Division et à la DEVE ? Qui peut dire sérieusement que des suppressions relativement massives de postes à la base d’une pyramide peuvent être sans conséquence sur le pyramidage hiérarchique ?

 

Ces questionnements, et probablement d’autres encore, doivent être clairement identifiés, définis, et discutés avec les personnels potentiellement concernés. Et cela bien évidement hors toutes tentatives de manipulations des inquiétudes des personnels par des « vendeurs de cartes syndicales ».

 

Personnels de la surveillance :

 

Que les personnels de la surveillance rejoignent une Direction municipale dont le métier doit être la sécurité des biens et des personnes et le respect des arrêtés de police de madame la Maire de Paris est parfaitement cohérent et, à terme, porteur d’espoirs pour des carrières professionnelles plus motivantes et un éventail de fonctions plus ouvert.

 

Mais : des points potentiellement problématiques  doivent être identifiés et traités.

 

  • Spécialité « Espaces verts » : les personnels de la surveillance des parcs et jardins doivent avoir la garantie que la DPP ne les baladera pas de jardins en mairies et de mairies en jardins. C’est la raison pour laquelle le SUPAP-FSU a demandé la création de la spécialité « espaces verts ». Ce point est essentiel et peut, pour le SUPAP-FSU, devenir un sujet de conflit.

 

  • Contrat de service : c’est un accord contractuel passé entre le prestataire de service, la DPP, et le « client » la DEVE. Ce contrat doit être aussi précis que possible. Le nombre d’agents nécessaire par Division doit être défini par la DEVE et accepté par la DPP : c’est le cœur même du contrat. Si ce point n’est pas clairement défini, une des deux parties sera « roulée dans la farine » ! Et si c’est la DEVE, les usagers électeurs des espaces verts réagiront.

 

  • Locaux administratifs et sociaux des AAS : le maintien des agents dans les locaux actuels (qui sont des locaux municipaux avant que d’être les locaux d’une Direction) est, pour des raisons pratiques, d’une telle évidence que la question est sans objet.

 

  • AASP encadrant : l’AASP responsable de brigade et son adjoint sont, par définition, des encadrants de proximité : ils doivent rester en poste là où est la brigade, sur le lieu même de l’activité : les jardins.

 

  • Bureaux des TTPS : Les bureaux des TTPS doivent rester à proximité du bureau du chef de Division, cela est essentiel pour l’efficacité du service. Soyons plus précis. La proximité géographique entre l’ingénieur chef de la Division de la DEVE et le TTPS, chef des personnels de la surveillance de la Division est indispensable pour traiter avec rapidité l’information urgente et grave qui « tombe » : la prise immédiate des bonnes décisions implique une concertation que l’éloignement physique retarderait. Que les TTPS disposent de bureaux plus ou moins collectifs au siège de la DPP afin de pouvoir accéder à l’informatique et travailler sur place, oui, mais il est indispensable, au regard de la densité des problématiques « espaces verts » que les TTPS aient leur bureau principal auprès de l’ingénieur chef de la Division de la DEVE.

 

  • RTT et Règlement d’emploi des AAS du SEJ : deux textes essentiels pour les droits et obligations des agents et de l’administration :

1°) - La délibération 2001 PJEV 99 qui définit les modalités d’application de la RT des personnels de la DEVE et notamment des AAS du SEJ (cycles de travail et JRTT).

 

 2°) - Le « règlement et instructions concernant l’accueil et la surveillance » adopté par lesCTP de la DEVE des 14 et 27 octobre 2008 précise les modalités de fonctionnement (droits, obligations, procédures…).

 

Ces deux textes ont été validés par des organismes paritaires de la DEVE et ils ne seront donc plus de droit dans le cadre d’une autre Direction. Il est donc impératif, ne serait-ce que pour des raisons de droit, que le CHCT de la DPP valide ces deux textes, dont un (la délibération) doit être voté par le conseil de Paris, avant l’intégration des AAS du SEJ à la DPP. Pas de place pour le bricolage.

 

  • Qualiparis : qui aura la main, la DEVE ou la DPP ? probablement les deux mais cela n’est pas notre problème. Qualiparis est un label municipal qui existe et continuera à exister bien au-delà des réorganisations administratives.

 

  • Verbalisation : en cas de problème, qui doit courir le plus vite, l’agent verbalisateur ou le verbalisé ? Le verbalisateur si celui-ci est assez stupide pour se mettre en danger. Jusqu’à ce jour des  agents du SEJ verbalisent et jamais ils n’ont eu à courir ! Alors le chiffon rouge des réactionnaires syndicaux : au musée des vielles manip ! Et puis n’oublions pas qu’en matière de verbalisation sur la voie publique  la DPP va devoir intégrer ceux dont c’est le métier de base : les quelques 1700 Agents de la Surveillance de Paris (ASP) qui n’auront plus leur place à la Préfecture de Police du fait de loi relative à la dépénalisation du stationnement.

 

Le SUPAP-FSU reste et restera toujours fidèle à une de ses devises :
Penser juste et parler vrai.
Ne restez pas isolé et sans défense : rejoignez-nous!

 

Des questions ? Contactez Hayate SAHRAOUI ou J.P. VIGIER

Téléphone bureau : 01 44 70 12 89 ou (87)

Paname le 25 10 2015

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16 septembre 2015 3 16 /09 /septembre /2015 07:27

 

AAS de la DEVE,

Les personnels de la surveillance du SEJ seront gérés par la DPP

Décision de madame la Maire de Paris :

Les discutions entre Directions et services (DEVE, DPP, DPE,….) ont déjà commencées.

 

 

Questions  →  Réponses.

 

QUELS PERSONNELS SERONT GÉRÉS PAR LA DPP? :

 

  • Tous les personnels de la surveillance du service d’exploitation des jardins (SEJ).
  • Ne sont pas concernés : les personnels de la surveillance des cimetières ni ceux du service de l’arbre et des bois (Vincennes et Boulogne) qui  resteront donc sous l’autorité administrative directe de la DEVE.

QUAND ? :

  • Au plus tard le 1er janvier 2017.

QUELLE SERA LA HIÉRARCHIE DES ASS TRAVAILLANT DANS LES JARDINS DE LA DEVE :

  • 1er    Les AASP responsables de brigades et leurs adjoints.
  • 2ème Les TTPS de la surveillance.
  • 3ème La DPP.

 

Conséquence : les responsables de la DEVE (Direction, ingénieurs, attachés…) ne seront plus les responsables directs des personnels de la surveillance.

 

Un contrat sera signé entre LA DEVE et la DPP afin de préciser les obligations de la DPP en matière de surveillance pour la DEVE.

 

FONCTIONS,  ROULEMENT,  SALAIRES : PAS DE CHANGEMENT.

Conformément aux dispositions de l’article 8 de l’accord sur la RTT la gestion informatique du temps de travail se fera au moyen du logiciel Chronogestor. Chaque agent pourra librement et directement consulter « son compte personnel chronogestor » et vérifier ainsi l’état de ses C.A., C.E., J.R.T.T., etc.  

 

Afin de protéger l’affectation des personnels de la surveillance dans les jardins, le SUPAP-FSU demande à la municipalité de créer la spécialité professionnelle « espaces verts ».

 

Ces changements d’autorités administratives au niveau supérieur de la DEVE (Direction et Divisions) se feront « en douceur ». Le changement dans la continuité en quelque sorte !

La Ville et l’administration se donnent quelques 18 mois pour organiser et concrétiser ces changements de Directions de gestion.

&&&

La construction d’une grande Direction municipale, qui pourrait prendre le nom de « Direction de la tranquillité publique », a commencé.

 

Petit rappel : c’est depuis octobre 2005 que le SUPAP-FSU demande  le regroupement au sein d’une seule Direction de tous les personnels chargés de faire respecter les arrêtés de police de la Mairie de Paris. A chacun son métier.

Mutualiser les moyens pour créer de nouvelles synergies c’est important mais, mobiliser les personnels en leur offrant – enfin – de véritables perspectives de carrière reste la condition essentielle pour l’efficacité  d’une telle réforme.  Demain se construit aujourd’hui. Nous regrettons cependant que cette réforme n’ait pas fait l’objet d’une discussion préalable avec tous les partenaires sociaux.

 

Dans cette nouvelle organisation seront réunis:

  • Les personnels  de la préfecture de police s’occupant du stationnement (les ASP)…
  • Les personnels de la DPE du centre d’action pour la propreté de Paris (CAPP)…
  • Les personnels de la surveillance du SEJ de la DEVE…
  • Les personnels  de la surveillance de la DPP (mairies et bâtiments administratifs et correspondants de nuit)…
  • Les personnels de sécurité (ISVP)…

 

Ces nouveaux effectifs pourraient avoisiner les 3200 agents de terrain.

La phase de regroupement des personnels chargés du respect des arrêtés de police de madame la Maire de Paris devrait être terminée au plus tard pour le 1er Janvier 2017 ; une seconde étape serait envisagée pour des évolutions fonctionnelles et statutaires.

Fonctionnelles : renforcement des actions contre les incivilités : présence d’agents plus visibles sur l’espace public, discussion avec les contrevenants et, si nécessaire, verbalisation ?

Statutaires : Il se pourrait que les personnels de cette nouvelle Direction (tous ?) se voient proposer d’intégrer le statut des inspecteurs de sécurités ? Cet éventuel changement de corps devra se faire avec des spécialités précises définissant les missions afin, par conséquence, de protéger le métier de chacun.

 

Cette seconde phase sera essentielle et déterminante pour les métiers et les carrières de chacun.

 

 

ATTENTION : Agents de la surveillance de la DEVE, sous couvert de syndicalisme, des bateleurs de foires, des vendeurs de vents, vont tenter de vous inquiéter et de vous manipuler pour se donner un rôle, une importance qu’ils n’ont pas. Ne vous laissez pas abuser, vous ne feriez que servir leurs intérêts personnels mais pas les vôtres.

Agents de la surveillance de la DEVE lorsqu’il y aura des informations crédibles, comme d’habitude, le SUPAP-FSU sera là pour vous informer et agir avec vous pour l’intérêt de tous et de chacun.

 

Paname le 25 Aout 2015 

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1 juillet 2015 3 01 /07 /juillet /2015 09:45

 

COUPS DE CHALEUR :

 

RAPPEL IMPORTANT EN CETTE PERIODE DE CANICULE

 

Une vague de chaleur exceptionnelle est attendue à partir de mardi et jusqu'à la fin de la semaine en France avec des températures au-delà de 40° dans plusieurs régions. Les départements des régions Bourgogne, Ile-de-France et Limousin, ainsi que l'Ain, l'Allier, le Cher, la Dordogne, l'Indre, la Loire, le Loiret, le Lot, le Lot-et-Garonne, le Puy-de-Dôme et le Rhône - soit 26 département en tout - sont sous la menace d'un «épisode caniculaire précoce et durable» à partir de mardi 14 heures, a averti Météo France.

Pour le moment malgré l’alerte orange de météo France le préfet n’a pas encore déclenché le niveau 3 du plan canicule comme dans le département de la Loire

La Ville de Paris a élaboré «  une ligne directrice en matière de canicule

 

http://intraparis.mdp/intraparis/jsp/site/Portal.jsp?document_id=18929&portlet_id=8150&terms=GESTION DE LA CANICULE

 

 En  principe

 

En début d’année (premier trimestre), les directions évaluent leurs besoins, vérifient et complètent leur dispositif de prévention au regard des mesures générales de prévention à mettre en œuvre dans leurs services, détaillées dans la fiche 7.5.

Les directions s’assurent donc que leurs dispositions sont opérationnelles dans les domaines suivants :

· l’identification des personnels à risques,

· l’organisation du travail,

· les moyens d’information,

· les moyens techniques de prévention,

· les moyens de secours.

Enfin, les directions doivent avoir répertorié les personnes à risques liés au travail et/ou liés à l’état physiologique et/ou pathologique (cf. fiche 7.5. § 3) et avoir défini les consignes qui leur sont spécifiques (cf. fiche 7.2. § 1).

Les procédures ainsi déterminées par les directions en fonction des métiers et des évaluations des risques menées sont définies en concertation avec les représentants du personnel en Comité d’Hygiène et de Sécurité (CHS) de direction

 

En cas de canicule, il s’agit :

 

Pour le personnel

 

- de boire régulièrement de l’eau fraîche (absorption en petites quantités : 150-200 ml),

- de se mettre de temps à autre dans des endroits plus frais,

- d’organiser le travail en fonction de la température sur le lieu du travail et de la pénibilité du travail afin de favoriser les interruptions de travail (cf. fiches 7.6. et 7.7.).

Au préalable, chaque agent présentant un/des risques liés à son état physiologique ou pathologique

(cf. fiche 7.5. § 3) devra se mettre en relation avec son médecin traitant qui lui signifiera les dispositions particulières qui lui sont applicables en cas de fortes chaleurs.

Il en informera la médecine du travail et sa hiérarchie afin que ces dispositions soient prises en compte dans l’organisation du travail.

 

Pour les Directions et leurs services

 

Des mesures préventives collectives doivent être mises en place afin d’améliorer le confort thermique au poste de travail. Il convient :

- de placer des fontaines débitant de l’eau fraîche à proximité immédiate des postes de travail (l’eau doit être maintenue entre 10°C et 15°C) ;

- de mettre à la disposition du personnel un endroit frais (salle rafraîchie) ;

- de réorganiser le travail :

- modification des horaires permettant la diminution de l’exposition à la chaleur,

- révision des rythmes de travail incluant les temps de pause,

- réduction des efforts prolongés,

- privilégier le travail en équipe, éviter le travail isolé,

- report des tâches les plus pénibles à un autre jour ou durant les plages de la journée les plus favorables du point de vue climatique,

- d’informer les agents sur les risques liés à la chaleur (importance de l’acclimatement, coup de chaleur,…) et les mesures de premiers secours (Cf. fiche 7.8.)

- de mettre en place des procédures spécifiques à chaque métier définies en concertation avec les représentants des personnels.

 

Il convient que, dans le cadre de l’évaluation des risques professionnels, chaque direction ait identifié les métiers et/ou les situations de travail pour lesquels l’exposition à la chaleur est un facteur aggravant pour la santé.

De même, les facteurs individuels doivent être pris en compte. C’est pourquoi, la hiérarchie doit tenir compte des dispositions particulières (définies par les médecins traitants et/ou la médecine du travail) qui doivent être prises, en cas de fortes chaleurs, pour certains agents, en raison de leur état de santé.

Il revient aux directions de proposer en concertation avec le personnel concerné, un aménagement des horaires du travail afin que celui-ci soit organisé dans les périodes les moins exposées aux fortes chaleurs. Cet aménagement doit cependant respecter les limites légales de la journée du travail, en particulier d’amplitude.

Des mesures organisationnelles complémentaires devront être mises en place:

En cas de fortes chaleurs, les directions peuvent réorganiser le travail, autour des orientations suivantes :

- pour les postes de travail extérieurs, où l’exposition au soleil est inévitable, aménagements d’horaire, avec fractionnement des tâches.

- pour les agents en horaires fixes, réaménagements d’heures d’arrivée et de départ, voire raccourcissement de la durée de la journée de travail, avec rattrapage ultérieur.

- pour les agents, en horaires variables, les agents, peuvent moduler leur temps de présence, le non-respect des plages fixes pouvant être momentanément autorisé, en fonction des nécessités de service.

L’ensemble de ces mesures est décidé par l’autorité hiérarchique en fonction des nécessités de service.

Comme il est recommandé d’observer des pauses voire des arrêts de travail en cas de fortes chaleurs

(cf. fiches 7.6. et 7.7.), le décompte du temps de travail en tiendra compte en les intégrant à la durée journalière du travail.

Pour les agents à horaires fixes, les pauses et les arrêts de travail qui peuvent être observés seront sans incidence sur l’horaire prévu et enregistré.

Pour toutes questions spéciales relevant du décompte du temps de travail, vous pourrez faire appel à la Mission Organisation et Aménagement de Temps de Travail (DRH, Sous Direction du développement des ressources humaines), notamment pour régler les situations des agents à horaire variable.

L’ensemble de ces mesures devra être déterminé en concertation avec l’ensemble des représentants des personnels et faire l’objet d’une présentation lors des CHS locaux.

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25 juin 2015 4 25 /06 /juin /2015 22:46

 

Boycotte du CHSCT de la DEVE ce mercredi 24 juin 2015

Position du SUPAP-FSU.

 

Ce matin 24 juin Le CHSCT de la DEVE n’a pas siégé du fait d’une décision majoritaire des membres du CHSCT. Les raisons motivant cette décision sont, pour l’essentielles, relatives aux difficultés du dialogue social au niveau central de la Ville.

Le problème est réel, baisse drastique des effectifs, des budgets de fonctionnement… etc.

Le SUPAP-FSU a été solidaire de cette démarche collective mais, et afin qu’il n’y a aucune ambiguïté, nous tenons à  apporter les précisions suivantes :

  1. C’est lors des réunions des organismes paritaires centraux que les problèmes communs à toutes les directions doivent être posés, le faire dans une Direction, la DEVE dans le cas présent, n’est pas forcément le moyen le plus efficace pour se faire entendre.

 

  1. Les problèmes spécifiques aux personnels de la DEVE, lorsqu’ils ne relèvent pas d’arbitrages centraux, doivent pouvoir être traités concrètement, rapidement et sans confusion des lieux de débats et d’actions.

 

  1. Aucun intérêt de sigle syndical ne doit servir de prétexte et prévaloir sur les intérêts des personnels.

 

Ces points étant clarifiés nous réaffirmons avec force que nous sommes et resterons toujours solidaires pour des actions communes, précises et efficaces dans l’intérêt des personnels et du service public.

 

 

Paname le 24 juin 2015

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1 juin 2015 1 01 /06 /juin /2015 16:06

Au Trocadéro

Usurpation des sigles de la CGT et du SUPAP-FSU par

L’UNSA-Surveillance (autonomes)

 

Incroyable mais vrai !!!

 

  • Ce vendredi 29 mai nous avons découvert par hasard, sur un panneau syndical, une pétition adressée à la Directrice de la DEVE, jusque-là rien d’anormal ! Mais qu’elle ne fut pas notre stupeur de voir notre sigle apparaître sur cette pétition ! En effet, personne au SUPAP-FSU n’était informé de cette « intersyndicale » ni de cette pétition (problème d’horaires de fin de service) !!

 

  •  Ce lundi 1er juin les responsables de la CGT nous ont confirmé qu’eux aussi ils n’étaient pas au courant de cette « intersyndicale » !

 

 Le seul syndicat qui était au courant de cette « intersyndicale »……était l’UNSA !!

 

En fait, et après investigations nous sommes arrivés à la conclusion suivante :

L’UNSA-Surveillance (Autonomes) pour tenter d’exister et de donner un semblant de poids à son étiquette syndicale qui apparaît de plus en plus vide de sens et controversée du fait notamment d’un verbiage mielleux vis-à-vis de l’employeur, accole à son sigle celui du SUPAP-FSU et de la CGT !

 

Personnels de la DEVE, comme nous :

  • Méfiez-vous d’individus capables d’usurper les sigles des autres syndicats …
  • Méfiez-vous des discours, affirmations et manœuvres de tels personnages !!!

 

Paname le 1er juin 2015

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20 mai 2015 3 20 /05 /mai /2015 21:50

Deux week-ends sur trois  en période estivale : rien ne le justifie !

Le service public a le dos large….sur le dos des AAS !

 

Précision :

Si la présence d’agents est augmentée en week-end, par effet mécanique, le nombre d’agents présents en semaine diminue.

En fait, le but réel des deux week-ends sur trois pour la DEVE est de payer des heures supplémentaires simples de semaine plutôt que de payer des heures supplémentaires aux tarifs des samedis et dimanches !

Les économies budgétaires se font toujours sur le dos de la catégorie ! MAIS, bien évidemment, tout cela au nom des grands principes et, dans l’intérêt du service public !

Ben voyons ! Nous prennent-ils pour des billes ?

 

Analysons froidement les faits : le service DU public ne justifie en rien les deux week-ends sur trois en période estivale ; en effet la fréquentation des jardins n’est pas plus importante les week-ends que la semaine :

Ø  Dans les jardins des lieux touristiques : il y a autant de touristes en semaine qu’en week-end! Peut-on imaginer une seule seconde que les touristes ne visitent Paris que les week-ends ? Soyons sérieux ! La présence des agents dans les jardins des lieux touristiques  est aussi nécessaire en semaine que le week-end !

 

Ø  Dans les jardins des quartiers populaires : en été pendant les vacances scolaires, les familles aux revenus modestes n’ont que les jardins publics pour  s’évader un peu de leur quotidien ! Qui osera prétendre que ces familles  ne profitent pas autant des jardins en semaine que les week-ends ? La présence des agents dans les jardins des quartiers populaires  est aussi nécessaire en semaine que le week-end !

Que ce soit dans les arrondissements fortement touristiques ou les arrondissements plus populaires, les Maires de ces arrondissements savent très bien que la présence d’agents du service public est aussi nécessaire en semaine qu’en week-end. Familles, associations locales et SUPAP-FSU pourraient bien se découvrir des intérêts communs pour des actions ciblées!

Dans la note du SEJ datée du 4 mai 2015 et dont l’objet est : « Cycle de travail des brigades de surveillance – travail du week-end. », le deuxième  paragraphe est ainsi rédigé : « La règle est donc une présence de nos agents, deux week-ends sur trois en période estivale, afin notamment de pouvoir disposer d’un effectif suffisant pour procéder à l’ouverture et à la fermeture des jardins. ».

Deux constats s’imposent :

Ø  Le nombre de jardins à ouvrir et fermer est le même en été qu’en hivers (CQFD).

 

Ø  Malgré les vacances d’été, les ouvertures et fermetures des jardins les week-ends ont toujours été assurées par les personnels de la surveillance. La suppression des postes d’agents de la surveillance, décidée par la DEVE ces dernières années est d’avantage la cause des problèmes aussi bien en semaine qu’en week-end et cela en tous lieux et en toutes saisons.

Les deux week-ends sur trois n’ont aucune justification fonctionnelle

Mais simplement budgétaire :

 

1)      Redisons-le du fait du sous-effectif permanent de la surveillance, le recours aux heures supplémentaires est parfois inévitable et la DEVE préfère payer des heures supplémentaires de semaines plutôt que des heures supplémentaires de samedi ou de dimanche à des agents de catégorie C. Toujours sur le dos des pauvres !

 

2)      Les deux week-ends sur trois c’est également dans les mains de certains TTPS à la bienveillance connue de tous  un moyen de régler des comptes avec des agents et de faire du favoritisme ciblé.

 

Comment ? Il ne faut pas dire cela ?  Le non-dit, la langue de bois, le manque de franchise et l’hypocrisie voilà une des causes du malaise social ! Cela est vrai des politiques, de certains syndicalistes et de l’administration. Le SUPAP-FSU, même si cela déplait, a l’honnêteté de dire haut et fort ce que beaucoup pensent et murmurent.

 

 

 

 

Que précise la délibération PJV 99 et notamment dans son article 4 :

 

Brigades de surveillance des parcs et gardiennes de chalets

 

« 1) Cycle de travail

Le cycle de travail est de 14 semaines en roulement avec un week-end travaillé sur 2 du 16 septembre au 14 mai et, 2 week-ends travaillés sur 3 du 15 mai au 15 septembre selon les besoins du service. »

 

 

 

 

Les besoins du service : rien d’autre !

 

Paname le 11 mai 2015

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 18:03

DEVE !

DE MIEUX EN MIEUX !!!!

HABILLEMENT ? ALLEZ-VOUS RHABILLER !

Après la couleur, la couleuvre !!!

L’irresponsabilité continue ! Dernière trouvaille de la DEVE : les agents doivent aller chercher une partie de leur dotation (pantalon) à Courbevoie, hors zone 1 et 2, et, pour de nombreux agents, la convocation se fait sur le temps personnel !! « Vous récupérerez du temps après » ose-t-on leur dire !

Pour paraphraser la célèbre expression « y a-t-il un pilote dans l’avion ? » nous pouvons légitimement  nous demander « y a-t-il un SRH à la DEVE ? » notamment pour les questions relatives aux tenues. En effet, à titre d’exemple, à la DPP la question des tenues a été définitivement réglée: couleur, coupe, identifiants, livraison…. Bref la DPP gère tout sans être sous les fourches Caudines de la DILT !! Une formation de certains responsables de la DEVE à la …DPP  ne serait peut-être pas vaine et inutile !

Problème de couleur : les discours syndicaux qui consistent à vouloir transformer les agents en « passe murailles » sont responsables de ces déguisements successifs : on est personnel de surveillance et cela s’affirme, ou alors on change de métier.

Problème de tissu et de coupe : le seul avis compétent en la matière est celui des agents et de personne d’autre !

Livraison : si la DEVE ne veut pas livrer elle-même l’intégralité de SA dotation vestimentaire aux agents de la surveillance, pas de problème A CONDITION que les personnels aillent chercher LES VETEMENTS DE L’ADMINISTRATION sur le temps de l’administration et uniquement pendant les horaires normaux de service !!!! Et que les titres de transport soient bien pris en compte par l’administration !!! Un petit point d’ordre juridique : lorsque la collectivité contraint un de ses fonctionnaires à sortir de son territoire administratif, celui-ci ne devrait-il pas être muni d’un « ordre de mission » ? La réponse est OUI !!!

Que la DEVE règle ses problèmes de compétence et d’efficacité une fois pour toute  en ce qui concerne latenue des personnels de la surveillance.

CELA DEVIENT LASSANT !!!

Paname le 20 février 2015

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30 janvier 2015 5 30 /01 /janvier /2015 20:54

A tous les personnels de la surveillance de la DEVE

Nous vous communiquons ci après la déclaration

que les représentants du SUPAP-FSU viennent de faire a la DEVE

avant de quitter la salle de réunion.

 

 

Mesdames,  messieurs,

La réunion que vous avez provoquée aujourdh’hui est inacceptable pour plusieures raisons :

La sécurité des biens et des personnes n’est pas de votre compétence vous qui supprimez des postes d’agents de terrain et, de fait, mettez les personnels en danger permanent.

La société devient de plus en plus problématique et les personnels de la surveillance sont de plus en plus confrontées à des situations difficilement gérables. Il est donc nécessaire et urgent que cette question soit gérée par des politiques et non par des fonctionnaires qui, à ce jour, n’ont pas démontré une quelconque compétence dans ce domaine.

Vous qui, dans ces périodes de crises, avez démontré votre incompétence pour donner des directives sensées, cohérentes et de nature à protèger les personnels, les biens et les personnes.

Les dernières élections ont démontré que plus de 40 % des personnels de la surveillance ont voté pour le SUPAP-FSU. Ce qui confime bien que les personnels et le SUPAP-FSU sont en parfaite adéquation.

Pour toutes ces raisons le SUPAP-FSU veut rencontrer l’autorité politique qui est la seule décisionnaire dans ce domaine.

En conséquence nous ne participerons pas à votre réunion qui ne peut pas répondre décemment et valablement aux problèmes des AAS.

 

                                                                                                     Paname le 22 janvier 2015

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30 janvier 2015 5 30 /01 /janvier /2015 20:41

« Vigipirate » : les personnels de la Ville de Paris s’interrogent

Concrètement cela ne correspond pas à grand-chose et c’est bien le cœur du problème.

Après les assassinats, la stupeur et la douleur, la colère et l’indignation, les protestations et, parfois, les tentatives de manipulations des émotions, après un trop plein de mots, le SUPAP-FSU veut, dans le respect de tous et de chacun, que des décisions politiques et administratives soient enfin prises dans l’intérêt du service public, des biens et des personnes.

 

 

Mais, d’abord et surtout, réaffirmons les valeurs qui sont les nôtres.

L’assassinat, le meurtre, le crime, l’exécution d’un être humain sont inacceptables, injustifiables, odieux.

Dans notre pays deux libertés fondamentales ont été acquises de hautes luttes par et pour les citoyens :

• La liberté d’expression de la presse.

• La liberté des consciences qui est le fondement de la loi sur la laïcité.

Parfois l’exercice de ces deux libertés peut devenir problématique et sembler éventuellement contradictoires, mais si l’intelligence du cœur et le refus de tout sectarisme prévalent il ne devrait pas y avoir de problème.

 

 

 

« Vigipirate » pour les personnels de la Ville de Paris :

Premier constat :

 

Des moyens municipaux existent, insuffisant certes, mais ils existent cependant : quelques deux milles agents (agents d’accueil et de surveillance et inspecteurs de sécurité) dont les métiers sont de mettre en œuvres les arrêtés de police de la mairie de Paris pour la protection des biens et des personnes.

 

Problèmes :

ü  Ces personnels, pour l’essentiel, sont répartis - pour ne pas dire dispersés -  dans quatre directions différentes (La DEVE, la DPP, la DILT, la DEEES)

ü  Les effectifs sont nettement insuffisant au regard de leurs missions.

ü  Les perspectives de carrière pour ces personnels sont quasiment inexistantes.

ü  La grande majorité de ces personnels dépendent de directions (DEVE, DEES, DILT) dont la sécurité des biens et des personnes n’est pas le métier.

Sans succès, depuis octobre 2005, le SUPAP-FSU demande, dans l’intérêt du service et des personnels, le regroupement de tous les personnels d’accueil, de surveillance et de sécurité dans une Direction dont le métier est la sécurité, en clair : la DPP. Rassembler et mutualiser les moyens et les savoirs faire sous une autorité administrative unique : cela serait un gage d’efficacité et, de toute évidence la mise en place d’une grande Direction de la tranquillité publique permettrait d’offrir de véritables perspectives de carrières pour les personnels. Malheureusement, contre nous se sont ligués des conservatismes de tout ordre. Conséquence : dix ans de perdus.

 

Et maintenant :

Aucune réflexion n’a été organisée avec les personnels de la Ville de Paris, depuis l’entrée en vigueur du plan Vigipirate depuis plus de 10 ans, alors que cela a été fait dans les comités d’hygiène et de sécurité sur la grippe aviaire et les crues de la Seine.

Lors des assassinats dans le 11èmearrondissement et à la porte de Vincennes, nous avons constaté que l’administration semblait quelque peu débordée dans ses instructions et recommandations aux personnels. Cela est d’autant plus problématique que l’affolement est très contagieux et que les fonctionnaires municipaux chargés de la protection des biens et des personnes ce jour-là auraient dû savoir avec précision ce qu’ils doivent faire ou ne pas faire pour ne pas être inutilement en danger tout en étant utile à la collectivité.

Il est par ailleurs encore moins acceptable dans des circonstances de ce type que des agents soient amenés à travailler seuls sur des équipements de la Ville :

ü  Quelles sont les taches respectives des différents agents municipaux ?

ü  Des personnels municipaux autres que les personnels de sécurité (AAS et ISVP) doivent-ils ( ?), peuvent-ils ( ?), avoir des missions particulières, si oui, lesquelles ? Quelles sont les formations, les moyens qui devraient être mis à leur disposition?

ü  Que doivent faire les personnels de sécurité dans des circonstances particulières ?

Beaucoup d’autres questions peuvent et doivent faire l’objet d’une réflexion approfondie sur ce qu’il conviendrait de faire, ou de ne pas faire, avec les moyens qui sont les nôtres dans des circonstances exceptionnelles.

Le secrétaire général de la Ville de Paris a proposé aux organisations syndicales une réflexion sur la mise en œuvre du plan Vigipirate dans l’avenir.

Pour nous, la solidarité nécessaire ne doit en aucun cas être un obstacle à la liberté de critique des dispositions mises en œuvre par la Ville de Paris. Le SUPAP-FSU souhaite, dans l’intérêt des personnels, du public et des services qu’une véritable réflexion et si nécessaire négociation ait lieu afin que nous soyons tous prêts si d’autres évènements graves survenaient.

Paname le 19 janvier

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30 janvier 2015 5 30 /01 /janvier /2015 20:37

 

Pantalonnade à la DEVE !

 

 

Nous, AAS, ne sommes pas des mannequins !

Et surtout pas des Arlequins !

Pas d'harmonisation des couleurs dans notre tenue: du bleu foncé, de l'anthracite, du gris clair....A quand le rouge ou le blanc ????

Des Arlequins on vous dit !

 

"Démocratie participative" ? Pas pour le pantalon des AAS !

Que retient la DEVE d'une commission habillement ? Plus de solidité et de modernité dans la coupe. Rien sur le froid ressenti en hiver, rien sur l'irritation provoquée par la doublure l'été. Ah ! si....les petits élastiques là....à la taille !

 

La direction s'interroge sur l'identité visuelle des AAS, sur la méthode du choix du pantalon et va tenter d'intervenir sur la couleur.

Mascarade ! Pantomime !

 

La DEVE est pleinement responsable si les AAS ressemblent à des épouvantails de par la piètre qualité des articles composant la dotation vestimentaire.

 

 

Et maintenant la couleur !!!!!!!

Le bal costumé peut commencer.......

 

 

"Subjectivité" nous a-t-on lancé !

Bien sûr que nous sommes de parti pris !

Qui porte cette tenue imposée ? Qui représente la Mairie de Paris ? Qui accueille le public ? Qui est en première ligne au quotidien par tous les temps ? Qui est par conséquent le mieux à même de juger la dotation et de dénoncer cette farce que l'on veut nous faire jouer ?

 

Pour faire cesser cette comédie, signons la pétition du SUPAP-FSU signifiant à la DEVE que nous n'acceptons pas ce pantalon.

 

Nous ne sommes pas, et ne serons pas, les Bouffons de la Mairie de Paris !

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